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Compatibilité de la donneuse en FIV-DO
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Compatibilité de la donneuse en FIV-DO

  1. Sylvie34
    Sylvie34

    Plusieurs cliniques font leur pubs en mettant l’accent sur le choix des donneuses. Moi par exemple j’aimerais mieux une donneuse qui me ressemble. Mais il me semble que si la donneuse n’est pas compatible avec moi ça ne pourra pas marcher. Alors je voudrai savoir comment la clinique opère dans ces cas. Quels sont les chances de trouver une donneuse qui a les caractéristiques que je veux et qui en même temps est compatible avec moi? Quels sont les tests qu’on fait pour savoir si on est compatible? C’est un aspect important pour moi. J’aimerais savoir si vous pouvez m’apporter des réponses à ces différentes préoccupations. Bon dimanche à toutes.

    07/01/2018 à 19:14
    Réponse
  2. Bonjour Sylvie34,

    Lorsque c’est la clinique qui choisit la donneuse, elle essaye de trouver une donneuse présentant la plus grande ressemblance possible avec le couple en ce qui concerne l’aspect général (corpulence, taille, couleur des yeux, de la peau, couleur et aspect des cheveux), afin de faciliter l’intégration de l’enfant dans le cercle familial et social.

    On fait aussi en sorte que le groupe sanguin et le facteur rhésus de la donneuse correspondent à celui des parents, même si cela n’est pas très important et, sauf cas particulier, cela ne va empêcher ni la grossesse ni l’accouchement. Il est donc judicieux de consulter le groupe sanguin de la donneuse (en principe disponible sur son profil) lorsque ce sont les parents qui choisissent la donneuse.

    Par contre, après le choix, il est aussi possible de pratiquer un test de compatibilité génétique entre la donneuse et le partenaire masculin (ou le donneur de sperme) pour étudier de possibles mutations et éviter ou limiter le risque d’avoir un enfant porteur d’une maladie génétique.

    Dans ce cas, la plupart des cliniques sont disposées à changer de candidate. Il faudra parler de ces questions avec la clinique avant de commencer le traitement pour en vérifier le protocole.

    Bonne journée

    08/01/2018 à 11:12
    Réponse
  3. Salut à vous. Je suis un peu embarrassé car ma voisine m’a pose un problème et je ne sait quoi lui répondre. En fait elle est ménopausée (48ans) et souhaite avoir un enfant. Elle est séparé avec son conjoint car ce dernier n’a pas caché son désir de fonder un foyer avec beaucoup d’enfants. Elle m’a avoué n’avoir pas fait assez d’efforts pour pallier à cette situation. Le départ de son homme l’a ouvert les yeux et elle a éprouvé le grand besoin d’avoir un enfant. Elle est partagé entre la fiv double don et l’adoption d’embryons. Quels conseil puis-je lui donner pour celles qui s’y connaissent? Merci d’avance et bonne journée.

    28/03/2018 à 21:05
    Réponse
  4. Coucou Jessica. Je comprend tout à fait le dilemme qu’est confronté ta voisine. Je pense que c’est une question pertinente. Je tiens tout d’abord à compatir avec elle par rapport à se qui lui arrive. À 48ans c’est pas déjà évident d’avoir un enfant. La procédure de do est non seulement interdite en France à cet âge mais également le double don où don d’embryon n’est pas autorisé aux femmes célibataires. Mais à l’étranger les deux cas sont bien possible, ça dépend des pays. Sans tirer de long en large le double don est nettement mieux que l’adoption d’embryons. Elle aura plus de chance de concevoir.

    10/04/2018 à 0:01
    Réponse
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